lundi 18 juillet 2011

Ma dépendance affective - Sa définition - Partie 2

Des femmes que j'ai connu depuis le début de ma sobriété, je fais part de mes comportements de dépendant affectif, et de mon rôles tout comme les rôles des femmes qui ont parcourus ma vie.

Je ne les blâme pas mais je crois avoir partager une dépendance affective qui n'était pas de l'amour mais une certaine forme d'approbation à savoir si j'étais encore aimable une fois abstinent.

Je m'avoue ce trait de caractère qu'est la dépendance affective l'ayant toujours refusé auparavant. J'ai un travail à faire à cet effet.

Ma dépendance affective- Mon histoire - Partie 1

Avec les années, les événements, et les femmes avec lesquelles j'ai eu des relations amoureuse, je crois être en mesure d'affirmer que j'ai agi comme un dépendant affectif. À savoir s'il y a eu transfert de dépendance de l'alcool vers l'affectif, c'est possible.

J'explore le sujet avec le plus de transparence possible, non pas pour me citer en exemple, mais pour partager mon vécu à cet effet. Je cite également les 3 femmes qui ont été majeures dans ma vie en faisant abstraction de celles connues de façon éphémères.

samedi 16 juillet 2011

Ma dépendance affective - N'aimer qu'être aimé ou aimer vraiment - Partie 2

La dépendance et la codédendance alcoolique ont de nombreux points communs dont celui de la dépendance affective.

Tout dépendant alcoolique ou codépendant alcoolique n'est pas forcément dépendant affectif, mais le sujet mérite d'être traité.

Personnellement avec les dernières relations vécues (surtout la dernière) j'ai été conduit par la dépendance affective. Je crois qu'il en fut tout autant pour l'autre.

Maintenant est ce que j'ai vraiment aimé la personne ou ai je vraiement eu ce besoin que n'aimer qu'être aimé ? Est ce que de ce que je regarde maintenant avec le coeur, il en fut autant pour ces 3 dernières femmes qui m'ont aimé.

Ce sont des questions personnelles, oui, mais elles sont très pertinentes et décrites également pour nous qui sommes alcoolique ou codépendant(e)s alcooliques sobres ou non. Voilà un sujet d'importance qui apporte réflexions.


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La sagesse de la différence - Décider ou se laisser guider - Partie 12

Combien de fois avoir écouté notre petite voix intérieure, la situation aurait été de beaucoup mieux de celle qu'on a décidé et imposé. L'intelligence du coeur est une voie de notre voix intérieure qui nous engage vers un chemin de guérison. Ce fut mon cas lorsque j'ai arrêté de décider de me battre contre l'alcool afin de m'abandonner à ce qui doit être fait.

Chaque jour de mon abstinence était sous la tutelle de pas guidés par la vie, l'univers, ma puissance supérieure, qu'importe la définition.

Les personnes, les lieux, les événements sont issus de décisions personnelles ou d'un laisser guider. De ce que nous apprenons souvent de décisions personnelles et imposées, c'est que ces derniers (personnes, lieux, événements) ne sont pas toujours naturels et que l'on doit apprendre de ceux ci.

C'est ce que j'ai vécu tant par ma quête de l'abstinence que d'une situation vécu dans ma vie affective dernièrement.

Des relations avec mon dernier vécu affectif sont évoquées également.

lundi 11 juillet 2011

La sagesse de la différence - Détresse de l'alcoolique buveur et compassion (4) - 11 ième partie

L'amour est une force et une énergie qui est la plus puissante de toutes celles existentent. Faire de l'amour un point central de notre vie autant pour soi que pour l'autre en concordance avec l'alcoolisme est un point très important lié à une abstinence plus que possible.

Abdiquer face à l'alcool, baisser les armes, c'est savoir avoir l'humilité (et non l'humiliation) de se dire que l'alcool, dans ces combats, sera toujours plus fort et que de nager à contre courant devient épuisant. Laisser la place à l'amour, et à ce courage de changer est un élément très important d'une progression assurée.

La sagesse de la différence - Détresse de l'alcoolique buveur et compassion (3) - 10 ième partie

Dans ma détresse, j'ai cessé de me battre, je me suis avoué vaincu, bref j'ai baissé les armes et ce fut le début d'une abstinence en émergence.

À force de me battre et de terminer mes journées K.O. de jours en jours, j'ai cessé d'accepter les invitations de l'alcool à l'affrontement (de façon imagée j'en conviens).
L'aspect de la codépendance également face à ces situations vécues avec le ou la conjointe alcoolique.

Abdiquer c'est un courage de changer et c'est également une force d'accepter. Pour moi, ce fut la solution.

La sagesse de la différence - Détresse de l'alcoolique buveur et compassion (2) - 9 ième partie

Poursuite du sujet de la détresse de l'alcoolique buveur et de la compassion qui puisse y être associé. C'est un sujet d'une grande importance que je poursuis dans série de vidéos à ce effet.

samedi 9 juillet 2011

La sagesse de la différence - Détresse de l'alcoolique buveur et compassion - 8 ième partie

Il n'y a pas pire état d'être que d'être en détresse en regard à ce notre mal être en tanq qu'alcoolique buveur. Lorsqu'on perd tout contrôle, comme j'ai pu le vivre, face à l'alcool, il y a un sentiment très fort qu'il n'y a rien à faire.

Je marchais 40 minutes par soir pour prier le ciel afin de me sortir de mon alcoolisme buveur, si ce n'aurait été qu'une question de volonté, j'aurais arrêté l'alcool bien avant de faire ces 40 minutes de marches, beau temps, mauvais temps, froid, neige, pluie, tempête et j'en passe.
Je suis passé par la détresse et toute forme de sermon ne faisait que m'enfoncer davantage dans ma peur, dans ma perte d'estime personnel, dans une régression assurée par des paroles qui blessent.

Ce que je suggère : Ne faire qu'une chose à la fois, en regard à notre alcoolisme buveur s'avère une solution qui puisse nous amener à l'espoir de vaincre et de poser le dernier verre.

Ne vous découragez pas, alcooliques en détresse, il y a des gens qui, comme moi, vous comprennent. Surtout ne perdez pas espoir d'une nouvelle vie.. Il ne s'agit que d'un pas à franchir qui se nomme vaincre sa peur pour aller se guérir.

vendredi 8 juillet 2011

La sagesse de la différence - La différence entre le coté physique et émotif - 7 ième partie

Oui bien sur, du domaine physique, bien des options peuvent adoucir et même éradiquer les cotés physiques de l'alcoolisme.

Demeurent les cotés psychologiques, émotifs, les mal-êtres, les états dépressifs qui doivent être réglés.

On est alcoolique à vie et l'importance de côtoyer des gens avec lesquels on peut en parler. Savoir reconnaître la puissance de l'intervention de personnes spécialisées dans le domaine comportemental et cognitif de l'alcoolisme.

Donc savoir faire la différence entre le coté physique et psychologique est essentiel.

La sagesse de la différence - La puissance des nouveaux courants de pensée - 6 ième partie

La société est en profonde mutation et elle se dirige de plus en plus vers l’enthousiasme, le plaisir de faire les choses, et la puissance des objectifs.

À la sobriété se sont des éléments de grande force qui peuvent être établis dans un parcours abstinent.

Voir les choses telles qu'elles sont et voir une lumière au bout du tunnel est une sagesse de connaitre la différence qui peut changer ce qui doit être une force d'accepter en un courage de changer.

La sagesse de la différence - L'importance du coté émotionnel - 5 ième partie

L'alcoolisme est définie comme étant 20% physique et 80% d'ordre émotif. Ici pour sevrer nous avons entre autre le librium 500 qui libère complètement de l'addiction à l'alcool. Cependant le travail psychologique n'est pas fait. Une granule ne contient pas de solutions au niveau psychologique.

Le faire face à un problème d'alcoolisme est le plus grand face à face que nous avons à faire dans notre vie. La médication peut aider mais elle ne règle rien. Elle adoucit.

Avoir la sagesse de connaitre la différence entre le coté physique et le coté psychologique de la maladie est crucial.

La sagesse de la différence - Les vendeurs de facilités - 4 ième partie

Toujours en ce qui concerne les gens qui présentent les accommodements alternatifs comme des solutions à la sobriété et même jusqu'à un retour à une consommation normale de l'alcool, il faut savoir discerner là ou il y a exagérations.

L'abstinence, telle que ces gens la présente, est une lourdeur et un combat éternel et à vie. faux, complètement faux.

Si tel était le cas, il y aurait lieu de consulter à nouveau car la sobriété n'est pas une prison, ni un éternel combat. Au début la sobriété est difficile, mais avec le temps elle fait partie de notre vie.

Pour vendre leur facilités, ces gens usent d'adjectifs et de descriptions de la sobriété comme étant complètement noir et lourde alors que ce qu'ils proposent est une voie vers la lumière.
C'est une exploitation pure et dure de la naiveté.

Savoir se créer un objectifs, et adopter l'enthousiasme et le plaisir de faire les choses de façon à mieux vivre l'alcoolisme est un autre sujet traité à même ce vidéo.

La sagesse de la différence - Les accomodements alternatifs - 3 ième partie

Il existe une panoplie de solutions soit disant miraculeuses pour "guérir" de l'alcoolisme.
Malheureusement, des gens sont naïfs et se font manipuler par ces propositions complètement ridicules, risquées et non approuvées. Oui l'alcool ne semble plus avoir d'effets mais parceque la même personne n'a pas été suivi en thérapie, elle est proie à des comportements de dépression, de grand découragement, de colère, de tristesse, d'envie de rien faire et j'en passe et c'est là ou sont les limites du baclofènes.

Le baclofène en est un.

Bien sur la médication peut servir de transfert de la dépendance pendant un certains temps, c'est là ou le corps dicte au psyché que tout va bien et oui, tout semble bien aller pendant 1 mois, 2 mois, 3 mois et j'en passes.

Mais lorsque le transfert ne se fait plus l'alcool revient en catastrophe et c'est une situation qui est brutalement blessante lorsque la personne s'est fait jouée.

Je connais bien des gens ayant expérimenté le baclofène tout comme tout autre médication apaisant le coté physique de l'alcoolisme mais lorsque le coté obsessionnel revient c'est alors que le physique ne suit plus et il y a risque d'une rechute grave et potentielle.

Voilà ce dont est constitué ce vidéo sur les "accomodements alternatifs.

mercredi 6 juillet 2011

La sagesse de la différence - Une situatlion relationnelle personnelle - Partie 2

Je ne sais pas ce que cette femme m'a fait, je ne sais pas ce qu'elle avait pour me faire vivre encore tant d'émotions destructrice, une des sagesse de connaitre la différence entre le courage de changer et la force d'accepter, je dois faire la part des choses.

Je sais que c'est la part des deux aspect, la force et le courage, mais lequel est plus fort, lequel dois je travailler le plus. Je m'aperçois que pour une situation donnée il peut y avoir une force d'accepter qui se transforme en un courage de changer. Ce que je n'avais jamais vécu auparavant et qui est tout nouveau pour moi.

J'exploite ce sujet de cette relation qui m'a fait plus de tort que de bien. De cette femme qui, à ma grande surprise, semble ne pas avoir de coeur.

J'ai du mal à comprendre là ou elle a pu me faire croire que j'avais une importance pour elle. Je dois accepter avoir été un essaie, et je dois avoir le courage de changer ma façon de voir toute personne comme étant bonne, de coeur et de sincérité.

dimanche 3 juillet 2011

La sagesse de la différence - Une question de perception - Partie 1

La sagesse d'en connaitre la différence. De cette phrase de la prière de la sérénité, entre le courage de changer et la force d'accepter parfois la ligne est mince car nous avons en nous une perception, une vision des choses qui peuvent transformer la force d'accepter en un courag de changer.

La force d'accepter - L'hypocrisie de personnes que l'on croyait ami(e)s - 16ième partie

Je me rappelle très bien de ces personnes qui venaient me visiter, se disant des amis, se disant aimant de la personne que j'étais au niveau amical et qui sont disparus de mon décors lorsque je suis devenu abstinent.

Encore tout dernièrement ces femmes que j'ai connu, ont abandonné sans scrupules et sans aucune émotions de compassion. À ces gens, je leur dit qu'ils sont souffrants, et qu'ils m'ont permis de me passer d'eux, de leur bêtises dans ma vie.

Ce fut des acceptations mutliples, car je ressentais une certaine forme de trahison. J'ai du avoir la force de me protéger de ces gens qui disent mais qui n'agissent pas.


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La force d'accepter - épisodes médicales troubles (suite) - 15ième partie

Avec le temps, mon père, qui est médecin à sa retraite, voyait que ma situation était anormale par ma souffrance qui était visible dans mon état d'être. Il m'a fait consulté un psychiatre (autre force d'accepter). J'ai parlé au psychiatre de la panoplie de médicament que je devais prendre et celui ci était estomaqué, surpris, abasourdi ... j'en passes.

Il m'a suggéré un sevrage en psychiatrie à l'interne, mais j'ai refusé sec. Il m'a alors donné son numéro de téléphone personnel afin que je lui dise l'état des chose, car j'arrêtais du jour au lendemain ces médicaments qui m'empoisonnaient le corps et l'esprit.
Ce fut une période extrêment difficile, que de douleurs, que de mauvais moments, et au final de multiples périodes d'acceptation.

Fort heureusement j'avais en moi un esprit très spirituel et c'est par cette spiritualité que je m'en suis sorti.

La force d'accepter - épisodes médicales troubles - 14ième partie

Au sortir de ma thérapie, j'ai eu à faire face à une dépression et à des problèmes de nature anxieuses. J'ai été alors traité par un médecin généraliste qui a usé de ma naiveté afin de tester des médicaments sur moi.

Aillant consommer des quantités énormes d'alcool durant mon alcoolisme buveur, j'ai eu des lacérations cérébrales qui me donnait des psychoses noctures. À cet effet, le médecin en question m'a fait prendre une multitude de médicaments par essai erreur.

Dans ma naiveté, les effets secondaires des médicaments n'étaient pas mis en cause, je croyais qu'il s'agissait des effets secondaires de mon abstinence.

J'ai eu une période tant de courage que de force d'accepter des situations qui étaient de l'ordre de l'abus. Je ne connaissait pas la nature de mes déséquilbres mentaux, et j'ai fait face à un arnaqueur qui a brisé cette partie de ma vie ou je débutais mon abstinence.